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Prise dair capot
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  2. #Prise dair capot series

Mechanically the same can be said, and the car is still fitted with its original engine. The chrome is also in good condition and all the panels appear to be straight and nicely fitting. The car is in stunning condition with a newly re-trimmed interior and very nice paintwork. In 1998 it belonged to an Australian owner named Les Johnson who apparently kept the car in Europe and with French plates. The history file informs us that the car was for sale in 1994 by the Garage Lamy in France. The car remained in the U.K until the late 1990s when it was exported to France and converted to left hand drive by its French owner.

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The design of the series 3 tail-lights was retained with individual indicators like on the DB 5.Ĭhassis Number DB4/1046/R was delivered to its first owner in the U.K on May 30th 1964. Most series 4 cars retained the standard tune engine with the twin SU carburettors. The much needed oil-cooler became a standard feature with its air-intake under the front bumper. Both the lower air-scoop and the barred type grille remained until the DB6. The air scoop on the bonnet was lowered and lost its grille. The car on offer today is a Series 4 in which the grille fitted in the previous versions was replaced by a barred type with only 7 vertical cars. With 240 bhp at its disposal, this superb automobile was capable of 225 km/h and when it was presented in 1958 was greeted with universal acclaim. Aston Martin turned to Touring of Milan for the coachwork opting for the "Superleggera" built with alloy panels fitted to a lightweight tubular structure. It retained the overhead twin-cam but replaced the cast-iron with aluminium and increased its capacity to 3.7 litres. Bentley, this engine was entirely re-designed by Tadek Marek for the DB 4.

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Derived from the six-cylinder Lagonda engine designed under the authority of W.O. Moreover, it is legendary for its driving qualities, for combining the refinement of a luxurious interior, the charisma of an Italian design and the brio of an imposing engine. The DB series became famous thanks to James Bond. Dans l'état soigné de cet exemplaire, elle est particulièrement attirante.

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La DB4 fait partie des voitures de sport les plus désirables de son époque et elle n'a rien perdu de son attrait, au contraire. La même chose peut être dite de la mécanique, qui est celle d'origine avec cette sonorité particulièrement envoutante. Les chromes sont eux aussi en très bon état et tous les panneaux de carrosserie sont correctement ajustés. En 2003, elle était de retour en Angleterre, proposée à la vente par les établissements Oselli Limited.Ĭette DB4 est dans un état superbe, avec une sellerie refaite récemment et une belle peinture. On retrouve ensuite cette voiture en 1998 entre les mains d'un propriétaire australien du nom de Les Johnson qui a, semble-t-il, laissé la voiture en Europe, avec ses plaques françaises. Le dossier de cette DB4 nous informe que, en 1994, elle était proposée à la vente par le garage Lamy, spécialiste réputé de la marque. Elle est restée au Royaume-Uni jusqu'à la fin des années 1990, étant alors exportée en France et convertie en conduite à gauche par son propriétaire français. Elle était alors rouge Dubonnet avec intérieur noir.

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Le dessin des feux arrière des Série 3 a été repris sur les Série 4, avec des clignotants individuels comme sur la DB5.Ĭette voiture, châssis DB4/1046/R, a été livrée neuve en Angleterre le. La plupart des DB4 Série 4 sont équipées du moteur standard à deux carburateurs SU. Elle recevait aussi un radiateur d'huile en série, refroidi par la prise d'air située sous le pare-chocs avant. Par rapport aux versions précédentes, la prise d'air de capot était plus basse et dépourvue de grille, une caractéristique qui se retrouvera jusqu'à la DB6. La DB4 proposée ici est une Série 4, dotée d'une calandre à sept barrettes verticales. Lors de sa présentation en 1958, la DB4 recevait à juste titre un accueil très positif. Tout en aluminium et doté de deux ACT, il présentait sur la DB4 une cylindrée de 3,7 litres, pour une puissance de 240 ch. Conçu sous l'autorité de WO Bentley, ce six-cylindres avait été revu par Tadek Marek. Si les films de James Bond ont rendu célèbres les Aston Martin de la série DB, elles présentaient au départ des qualités qui ne pouvaient laisser insensible l'amateur d'automobiles : une ligne superbe signée Touring, un équipement et une finition de haut niveau, et un moteur noble et puissant.












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